Association Loisirs et Culture

de Saint Wandrille-Rançon

12/01/2012

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    retour compte-rendu 2012 


Section : "Marche, Plaisir et Découverte"

Pour tous renseignements et inscription, contacter :
     Boullier Philippe     tel : 02 35 96 08 40
     Jourdain Daniel     tel : 02 35 38 19 09
     Raulin Jean-Marie     tel : 02 32 83 38 67 ou 06 61 68 98 12

Compte-rendu des sorties 2011


 

 «SUR LES HAUTEURS DE DIEPPE »

«M. P.D. » EN ESCALE A DIEPPE ».

Le dimanche 11 décembre, pour une vingtième et dernière randonnée de l’année, pas moins de 35 marcheurs de « Marche, Plaisirs, Découverte » ont répondu « présent » pour cette visite de Dieppe organisée par Paule et Philippe.
Avant d’entamer ce petit périple marin en ville, les randonneurs bien emmitouflés, accompagnés par les cris des mouettes et des goélands, se sont offerts un petit rappel historique allant de l’époque des Vikings au début du 19ème siècle, lorsque la duchesse du Berry lança la mode des bains de mer.
C’est à cette époque que Dieppe s’ouvrit enfin sur son littoral et que des fortifications enserrèrent la ville pour être progressivement détruites.
Notre guide rappela la date du 19 août 1942, date du débarquement canadien, qui symbolisa  une journée terrible gravée à jamais dans les mémoires.
Depuis le centre de la ville, la première étape emmena le groupe dans l’ancien quartier de pêcheurs du « Ponnet » qui est toujours resté l’âme de Dieppe.
Les randonneurs accédèrent à cet ancien faubourg par le pont ANGO et au-delà du pont COLBERT, ils parcoururent de nombreuses ruelles pavées enserrées de petites maisons de pêcheurs blotties les unes contre les autres. De nombreuses petites niches, abritant des vierges, accrochées aux façades des maisons attirèrent la curiosité des promeneurs.
Les randonneurs accédèrent au sommet de la falaise en empruntant » la volée » de marches qui y mène.
Ils visitèrent l’église des marins aux murs tapissés de nombreux exvotos et de plaques commémoratives.
Les familles de marins disparus en mer viennent régulièrement s’y recueillir et prier, et honorer la mémoire des leurs. «  ICI LA MER EST CRUELLE ! ».
En redescendant vers les quais, les marcheurs apprécièrent la magnifique vue plongeante sur la ville et ses quatre ports : Le port transmanche, le port de plaisance, le port de pêche et enfin le port de commerce.
Ils ne quittèrent pas le quartier du « Ponnet » sans passer « Aux Barrières » lieu où se tient le marché aux poissons, dès le retour des bateaux de pêche, dans une ambiance assurée.
En rejoignant l’ancienne tour « Aux crabes » de l’autre côté du bassin, les randonneurs furent surpris et intrigués par la présence de trous creusés dans la falaise ? Ces cavités qui sont appelés « Gobes » servaient de logements  à de nombreuses familles Dieppoises sans toit. Habitées jusqu’à la seconde guerre mondiale et plus récemment par des migrants clandestins, les autorités décidèrent de faire boucher toutes ces entrées rendues dangereuses par l’érosion.
La faim se faisait bien sentir quand le groupe se mit à table au restaurant pour le repas de fin d’année.
Chacun profita du bon repas préparé et servi avec grand soin dans ce lieu chaleureux face au port de plaisance.
L’après midi fut consacrée à la découverte de la cité de la mer qui proposait un parcours avec la vie d’un bateau de pêche en fil conducteur. La visite se poursuivit avec la présentation du savoir faire des pêcheurs et la visite de l’aquarium où, sa vedette du moment, une raie « Manta » exécutait une danse endiablée qui enthousiasma les petits et grands pendant un bon moment.
Il faisait déjà nuit depuis longtemps quand les randonneurs se séparèrent  en se souhaitant d’excellentes fêtes de fin d’année…


rouen

« Pause à la Tour Lanterne Jeanne d’Arc »

« SUR LE CHEMIN DU VIEUX TRAMWAY ROUENNAIS ».

Le dimanche 13 novembre 2011 dès 9 heures au pied du mont GARGAN, 22 randonneurs de « Marche, plaisir, Découverte » étant fin prêts s’élancèrent sur un parcours d’environ 23 km dans la région rouennaise.
Ils allaient découvrir en cours de route de magnifiques panoramas, l’ancienne voie empruntée jadis par le vieux tramway de Bonsecours et en toute fin de journée le magnifique et féérique panorama des illuminations de la foire St Romain .
Dès le départ, il fallut s’engager sur le sentier qui grimpe le long du flanc crayeux escarpé de la côte Ste Catherine. Arrivant quelque peu essoufflés, les randonneurs furent surpris de se trouver à la même altitude que la tour lanterne de la flèche de la cathédrale. Ils prirent le temps d’admirer les différents aspects du paysage urbain de la capitale haut-normande que la Seine  traverse  en décrivant une immense et majestueuse courbe alors noyée dans une brume cotonneuse percée  par endroit de traits de soleil  qui venaient caresser les toits, les tours et les clochers des nombreuses églises rouennaises.
Le chemin maintenant très étroit et en descente à flanc de coteau traversait un fouillis d’arbres fruitiers abandonnés, et en suivant la pente le groupe rejoignit un ensemble de belles villas riantes aux blanches façades. Ils traversèrent la route qui mène à Bonsecours, rendue célèbre par le passage du tour de France de 1947, et par la victoire de Robic le coureur breton de haute renommée.
Le groupe s’engagea sur l’ancienne voie du tramway qui escaladait jadis la colline sur d’énormes ouvrages en briques par endroit voutées toujours apparentes. Le trajet, à lui seul, était une attraction avant la guerre que d’aucuns jugeaient périeuse…
Au terminus, non loin de la basilique et de la chapelle reposoir dédiée à Jeanne d’Arc, une courte halte permit à chacun de reprendre son souffle et d’apprécier l’enfilade des blanches falaises qui courent  jusqu’à St Adrien.
La suite du parcours plus plat suivait une zone pavillonnaire avant de redescendre vers le fonds du vallon d’Amfreville-la-mi-voie par un sentier de chèvre  qui obligea presqu’aussitôt les marcheurs à remonter en forêt pour rejoindre le coquet château Louis XVI de Belbeuf.
C’est sur la petite place du village inondée de soleil que chacun ouvrit son sac pour un déjeuner frugal mais réparateur, qui permettra d’affronter le parcours de l’après-midi.
Les randonneurs rejoignirent le val Lormel après avoir traversés Franqueville , et toujours bien groupés descendirent le très long chemin forestier du Val aux Daims, remontèrent vers la tour de télécommunications de Bonsecours, puis rejoignirent le quartier du Mt Gargan déjà assombri par la nuit automnale qui tombait sans faire de bruit…
Les randonneurs bien fatigués par cette course assez éprouvante à cause du relief rencontré, mais enthousiasmés par les paysages découverts si près de la grande ville se retrouvèrent au domicile de Jean-Marie et Christelle pour y partager le pot de l’amitié.


«Halte au four à pain de Mont-Cauvaire»

«EN VALLEE DU CAILLY».

« Marche, plaisir, Découverte » randonnait ce dimanche 9 octobre en vallée du Cailly, sur un circuit d’une vingtaine de Kilomètres. Le départ fut donné depuis Bosc-Guérard- St- Adrien sous une petite plus fine qui ne devait pas quitter la vingtaine de marcheurs de toute la matinée.
Le groupe s’engagea dès le départ sur le GR 25 qui les emmena jusqu’à Montville à travers bois.
Après une première traversée de la rivière du Cailly , très tumultueuse en ce moment, les randonneurs gravirent la côte du mont Cauvaire par un sentier rendu très glissant par l’humidité ambiante.
Le sentier de « la queue du renard » leur fit rejoindre le lieu dit » la tête du melon » puis ils entrèrent  dans « Mont Cauvaire » lieu prévu pour le déjeuner.
Ils s’arrêtèrent au curieux four à pain qui a la particularité de posséder un double four . Là, le gardien communal du lieu expliqua que ce four servant encore 4 fois par an minimum, faisait partie des cinq derniers exemplaires
de France.
Ici les sacs s’ouvrirent , et chacun se restaura dans le fournil, à l’abri de la pluie qui ne tarda pas à cesser.
Le groupe reprit la marche en empruntant le chemin des « chasses marée de pays » puis parcourut le sentier des « fonds du Coudray » puis » la côte des Essarts » pour atteindre Ste Austreberthe.
C’est dans le bois » de Fécamp » que les randonneurs se perdirent, et après quelques hésitations le chemin retrouvé les amena tant bien que mal à leur point de départ où ils retrouvèrent leur véhicule.
Chacun félicita Ghyslaine, notre guide du jour pour cette belle rando. Et se donna rendez-vous pour la prochaine sortie du club.

 


« en bordure de la grande bleue »

« LA DURDENT VERS VEULETTES »….» 26 juin

En ce matin dominical très ensoleillé, les randonneurs de M.P.D. ont abandonné leur voiture sur le parking du lac de Caniel , le temps d’une marche de plus de 20 km en boucle au fil de la Durdent qui se jette dans la mer près de Veulettes.
Dès le départ, le groupe s’engagea dans une sente très pentue pour rejoindre les premières habitations du
charmant village de Clarville et le hameau des Cateliers. Le parcours, tantôt traversant les champs de lin et de blés, tantôt dissimulé par les sous-bois, permit de rejoindre la basse vallée  de la Durdent où les cultures maraîchères croissent grâce aux eaux vivifiantes et limpides de ce cours d’eau.
Par la suite, se référant au balisage du GR 21, les marcheurs remontèrent par un sentier bien ombragé  grâce à l’abondant feuillage de hêtres centenaires afin d’atteindre le panorama de Malleville-les-grés où l’on découvre, par une large échancrure des falaises la belle station balnéaire de Veulettes-sur-mer qui s’ouvre sur l’océan.
Tout en descendant le long du sympathique vallon verdoyant, les marcheurs abordèrent la dernière courbe du chemin et rejoignirent les premières demeures toutes en grés parfaitement protégées des vents marins.
C’est en bordure de la mer, près des Cateliers, et sous une légère brise marine et  un soleil éclatant que fut pris le déjeuner réparateur dans une ambiance décontractée. L’atmosphère aidant, un courageux du groupe piqua une tête dans l’eau salée qui somme toute, à ces dires, n’était pas si froide…. Même bonne….
Cette longue halte très appréciée de tous fut interrompue par la reprise de la rando qui débuta par la traversée de la plage sur la nouvelle digue, et la remontée de la falaise du côté de Paluel. Plus le groupe avançait, plus la centrale se dévoilait aux yeux de chacun.
Maintenant il faisait très chaud, l’eau des gourdes fut très appréciée et c’est seulement après avoir découvert le château de Janville et son magnifique parc, et après le détour programmé vers la chapelle de Janville au clocher /porche typique en grés que les randonneurs reprirent leur souffle sous le couvert des feuillages d’une belle hêtraie.
Tout près des pistes du terrain d’aviation de saint Sylvain, quelques avions saluèrent le groupe en passant au dessus des têtes à basse altitude obligeant certains à baisser instinctivement le chef.
Les randonneurs descendirent vers les rives de la Durdent pour la traverser à Paluel en empruntant un très vieux pont et rejoignirent le lac de Caniel par la rue des fontaines.
Cette sortie restera pour tous un excellent souvenir.


«SUR LES FALAISES DE VIRONVAY »

« LA SEINE DANS…. L’EURE !» 12 juin      heudebouville

Le soleil brillait de tous ses feux, ce qui présageait une belle journée en perspective, lorsque les randonneurs  de
« Marche, Plaisir, Découverte » prirent la route pour HEUDEBOUVILLE dans l’EURE le point de départ  d’une rando axée sur la vallée de la Seine et les falaises qui la surplombent.
HEUDEBOUVILLE , ce village en bordure de Seine offre des sites exceptionnels et naturels tels que les coteaux qui forment depuis St-Pierre-du-Vauvray un ensemble classé en zone naturelle d’intérêt écologique. Ce village est intimement lié à l’eau par ses nombreuses mares et sources situées sur le plateau mais aussi sur son île dite « de LORMAIS ».
Les randonneurs partirent de l’église St Valérien du XIème et prirent un petit chemin pentu et raviné qui descendait vers la Seine en même temps que quelques eaux usées pas toujours parfumées…à la rose.
Après le passage de la voie ferrée, la Seine apparut, reposante et calme dans cette partie qui forme une boucle baignée de verdure et peuplée d’oiseaux chanteurs en cette saison.
« Le chemin de Découverte » qui longe le fleuve sur plusieurs kilomètres est un lieu de promenade dominicale pour les riverains et de remise en forme pour les sportifs qui apprécient la tranquillité et l’ombrage des arbres et arbustes qui poussent au bord de l’eau.
La pause café fut prise à proximité des anciennes piles du pont ferroviaire détruit le jour de la pentecôte 1944 (coïncidence), jamais reconstruit,  tout en regardant passer quelques péniches lourdement chargées.
De gentilles demeures à colombages aux jardinets très fleuris se suivent en rang serré jusqu’au village plus important de St-Pierre-du-Vauvray.
Le manoir de Bellengault connu depuis le XVIème. situé en bordure du fleuve est encore important et de toute beauté.
Plus loin, c’est un parc animalier réalisé par un particulier qui s’offre aux yeux de nos marcheurs surpris par ce travail rappelant l’œuvre du facteur Cheval.
Déjà le bout du chemin se présentait et c’est après une visite de la charmante église de St Pierre située à flanc de coteau que le groupe remonta sur les falaises, en empruntant la variante du GR 2.
Les marcheurs traversèrent tantôt en forêt, tantôt en plaine les vals Liards, puis  au Maître, descendirent le val Cardé et remontèrent le val Nouant et c’est au plus haut du val au Plomb que les sacs s’ouvrirent pour le casse-croûte du déjeuner. Tous ces vals envahis par la forêt étaient jadis entretenus par les moutons qui paissaient paisiblement en regardant le fleuve en contrebas. Ici la vue sur la boucle de la Seine est grandiose, chacun put apprécier.
Les marcheurs reprirent le chemin qui les conduisit au point de vue de Vironvay, puis toujours par le GR 2 variante, toujours accompagnés par le chant des oiseaux, entrèrent dans Heudebouville par « la mare Puante ». Ce trou «  aux eaux glauques »  maintenant peuplé par les grenouilles était  autrefois reconnu  pour guérir les eczémas et autres rougeurs des fesses des nourrissons.
La boucle était bouclée, et chacun regagnant St Wandrille en voiture se félicita d’avoir participé à cette rando. très originale du département de l’EURE.


 

« Escale en vallée du Dun »

« AVEC M.P.D « ILS ONT VU LA MER »….».

« Allons voir la mer ! », telle était la motivation des randonneurs de « Marche, Plaisir, Découverte »pour ce dimanche 5 juin 2011.
Malgré un temps très incertain et orageux, les marcheurs prirent donc le chemin de la mer depuis le charmant bourg de « La Gaillarde », en profitant pleinement des paysages offerts par la romantique vallée du DUN.
A mi-chemin, au milieu des champs de lin à peine fleuris, Ghyslaine , notre conférencière de la journée, expliqua l’histoire du lin en la région, la difficulté de sa culture, et le savoir faire paysan qui fait du lin cauchois le meilleur du monde.
En reprenant le balisage du GR212B le groupe traversa le bourg DUN et FLAINVILLE où une courte halte permit d’apprécier l’élégante chapelle St Julien aux allures féodales.
Après avoir remonté la côte de FLAINVILLE , les randonneurs découvrirent la longue plage sablonneuse de
St AUBIN , lieu prévu pour le déjeuner qui fut pris bien abrité du fort vent marin.
Bien réconfortés, les marcheurs remontèrent le cours du Dun et découvrirent les très belles demeures à colombages et les fermes typiques en grés protégées du vent marin par de très hauts talus « chapotés » de hêtres centenaires.
A St Pierre le Vieux, le chemin longeant le mur de clôture du château menait à la grille d’entrée du domaine où le propriétaire des lieux invita le groupe de marcheurs à visiter ses jardins en toute simplicité.
Ici, au hasard des sentiers gazonnés, on passe d’une clairière à l’autre, les rhododendrons, les roses multicolores, les paresseuses clématites, les cistes, les chèvrefeuilles odorants, les eucalyptus, les azalées  et les nénuphars sont au mieux de leur forme en ce moment. « Quelle merveille !, c’est presque le paradis ! «  S’exclamèrent  certains
visiteurs privilégiés….
Après cette visite imprévue, toujours en suivant le Dun, la découverte de belles demeures au socles de grés et à encorbellements agrémentèrent ce parcours campagnard jusqu’au village de « La Gaillarde », qui fut rejoint tard dans l’après-midi.


21/22 mai Mont St Michel

 

 

 


eawy

«au plus près des V1»

« Un 18 mai en val- YGOT ».

La belle forêt d’EAWY et le site du val- Ygot  ont accueilli en ce dimanche 8 mai les randonneurs de « Marche, Plaisir, Découverte ». Malgré un temps incertain et orageux, les marcheurs partis de la petite ville de Bellencombre en même temps que quelques cyclistes du dimanche,  rejoignirent par une petite route pentue le Mont Roty et son manoir – ferme, entouré de très beaux bâtiments agricoles.
Déjà, le chemin étroit s’engageait dans la forêt de la Heuze et après avoir rejoint le GR 6B de pays, le café fut dégusté devant le château de la grande Heuze.
Quelque peu revitalisés, les randonneurs entrèrent dans le val St Martin, coulée de verdure baignée par un beau soleil de printemps, puis toujours sous le couvert des hêtres puis des sapins, ils rejoignirent, accompagnés par le chant des oiseaux nombreux en cette saison, l’aire de repos du site du Val-Ygot.
Là, Paule les attendait autour de la table dressée pour un déjeuner champêtre bien mérité.
Bien sûr, Daniel, le guide du jour, donna quelques explications sur le site du Val-Ygot .
Mais c’est avec un excellent guide qui connaissait l’histoire de ce site construit vers 1943 par les allemands, que chacun put découvrir toute l’importance de ces machines infernales appelées « VI » qui auraient dû être envoyées depuis cette rampe appelée « rampe lourde » ou « ski-site », comme bien d’autres dans la région sur l’Angleterre et la Belgique, si des bombardements alliés n’avaient pas perturbé les dessins teutons.
La forêt d’EAWY abrita pas moins de neuf rampes dites « légères » qui furent très actives et meurtrières du 13 juin au 15 août 1944 (après le début du débarquement alliés en plages Normandes).
Après une bonne heure sur le site, et avoir remerciés leur sympathique et intarissable guide, les marcheurs très satisfaits de leur visite reprirent le chemin du retour à travers  cette grande forêt d’EAWY.
Le large chemin St Martin qui surplombe le val du même nom les emmena jusqu’au charmant village St Martin où ils retrouvèrent » la Varenne » au cours d’eau tumultueux.
Le chemin des » Marégots » qui longe la rivière les conduisit jusqu’au centre de Bellencombre point de départ de cette belle journée qui se terminait sans une goutte de pluie…

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«Passage sur la Scie » »

« AU FIL DE LA SCIE».    24 avril

« Marche, Plaisir, Découverte » avait choisi la date du dimanche « Pascal » pour faire découvrir à ses randonneurs le charme de  cette secrète vallée verdoyante, si riche en cette saison par ses couleurs et ses senteurs nouvelles.
Comme pour saluer les marcheurs, les célèbres Jacquemarts d’Auffay frappaient l’heure (neuf coups) lorsque le groupe quittait les anciennes halles pour se diriger vers Heugleville sur Scie.
Déjà les premiers rayons de soleil illuminaient les typiques façades des basses demeures cauchoises aux croisées fleuries.
Pour se rendre au « Pont Rouge », les randonneurs durent emprunter le trajet qui , par le passé, servait aux rapides attelages du « Chasse marée » , ces charrettes qui transportaient quotidiennement la pêche de la journée de Dieppe jusqu’à Rouen en un temps record pour l’époque.
Maintenant en sous bois, une brève escalade permit de rejoindre le site de la modeste église de N.D. du Parc et de profiter de ce cadre enchanteur pour y prendre le traditionnel café.
Tout près du « Neuf Moulin », une étroite passerelle enjambant le cours d’eau permit au groupe de traverser en évitant le passage à gué trop profond en ce lieu.
Dès lors, le parcours assez accidenté qui traversait forêt et prairies laissait découvrir le nombre impressionnant de méandres formés par ce petit fleuve qui serpente jusqu’à la côte d’Albâtre.
Tout près du manoir de St Crépin, les sacs s’ouvrirent pour partager le repas dominical dans un cadre champêtre propice à la bonne humeur , à l’ombre d’une odorante haie d’aubépine en fleurs .
Il faisait très chaud en ce début d’après-midi lorsqu’il fallut remonter à travers le bois du « Vieux Montigny » , traverser le hameau des « Cent Acres » et rejoindre par la route le petit village du « Catelier ».
« L’eau commençait à manquer .. , les pas devenaient lourds.., le groupe de marcheurs s’étirait… », mais grâce à la générosité d’une sympathique cauchoise qui ouvrit ses robinets, une eau salvatrice et fraîche remplissant chaque gourde et étanchant les soifs  fit redémarrer les randonneurs et leur permit de reprendre  d’un pas plus allègre le chemin d’Auffay.
Cette randonnée de 24 km assez éprouvante ne découragea à aucun moment les marcheurs de « M.P.D » qui se donnèrent rendez-vous pour une prochaine sortie en forêt d’EAWY.

 


« Le marais Vernier ».

marais vernier
«Moment de détente au manoir "Le Castel" »

le 10 avril c’est par une journée estivale que les randonneurs de l’asso Wandrégésilienne ont découvert cette minuscule région verdoyante si proche de l’estuaire de la Seine.

Tout le long du parcours tapissé de jacinthes sauvages, chaque marcheur a pu profiter d’une vue splendide plongeant sur les courtils qui se rejoignent devant « la croix de la Devise ».En bordure du marais, le parcours élaboré par Philippe permit au groupe de passer au plus près des chaumières et des fermes de ce petit coin de Normandie si éloigné de la vie moderne.

Tout près de la digue des « Hollandais », notre guide donna quelques explications sur les atouts de cette microrégion qui, par le passé, grâce à l’extraction de la tourbe approvisionnait pour le chauffage la léproserie  de Pont-Audemer. Il mit en valeur les nombreux maraîchers, qui, grâce au microclimat de l’estuaire, apportaient sur les marchés alentour les premiers fruits et légumes. Il commenta également le travail de ces chaumiers qui récoltaient jadis, mais encore de nos jours, le roseau servant à la confection des toitures de nos belles chaumières qui sont la fierté de notre région.

Il fallut quitter avec regrets ce site enchanteur devant « le bout d’aval » pour remonter sur le plateau et rejoindre la pointe « de la Roque ». L’ancien phare, établi sur la falaise de craie blanche, toujours équipé de sa lanterne se dresse telle une sentinelle protégeant les navires croisant dans l’estuaire de Seine.

La découverte de cet autre panorama surprit les randonneurs qui se « ruèrent » vers la table d’orientation pour reconnaître les lieux et ne pas perdre une miette de la superbe vue sur l’estuaire et le confluent de la Risle qui s’offrait à eux.

Reprenant le chemin qui mène au domaine « Le Castel », les marcheurs furent accueillis par leurs hôtes sympathiques, et c’est autour d’une table dressée sur une des pelouses de la propriété  que chacun put profiter d’un repas réparateur, et surtout jouir pleinement de ce cadre enchanteur entouré de jardins fleuris.

Le chemin du retour bien ombragé et confortable pour les pieds endoloris fit traverser les bois du « Harmel » et  des « trois chênes » avant de retrouver la vieille église de Bouquelon, point de chute de cette mémorable randonnée de plus de 20 km.

Ravis de cette journée de détente, les randonneurs se sont donnés rendez-vous pour le dimanche 24 avril…


corneville

« CORNEVILLE et ses célèbres cloches ».

En ce dimanche 27 mars, après que chacun eut effectué son devoir civique, les randonneurs de « Marche, Plaisir, Découverte » se retrouvèrent devant l’office du tourisme de Pont-Audemer point de départ pour une visite et une découverte de la belle et riche vallée de la Risle.

Dès le départ, les marcheurs entrèrent dans le vif du sujet en gravissant  « la côte de la pierre «  qui les amena au domaine de Bonnebos. En ce lieu seigneurial du templier LE FORT, subsiste une belle chapelle St Nicolas et un colombier, de forme octogonale tous les deux construits en briques et pierres datant du XVIIème Siècle.

corneville La chapelle que visitèrent les marcheurs est classée aux monuments historiques. Elle abrite aujourd’hui le musée départemental de la résistance et de la déportation.

Le groupe traversa les bois très fleuris en ce début de printemps ensoleillé de Manneville-sur-risle, et rejoignirent le GR 224 qui les emmena pour une partie vers Corneville via « le bois de la côte ».

Là, sur une aire de pique-nique au bord de la Risle, les sacs s’ouvrirent pour un déjeuner champêtre très apprécié de chacun. Philippe, le guide de la journée dévoila l’histoire de ces célèbres cloches de Corneville qui furent  volées par les anglais pendant la guerre de cent ans.
Le bateau emportant les cloches et le trésor de l’abbaye après le pillage chavira dans les eaux de la Risle qui engloutirent trésor et cloches. Les moines récupérèrent trésor et cloches sauf une. On dit que lorsque le carillon sonnait à l’abbaye, la cloche restée dans la Risle se mettait elle aussi à raisonner du fond de l’eau…

Ce petit village de Corneville est aussi célèbre grâce à la célèbre opérette « les cloches de Corneville » écrite par M Planquette au siècle dernier.

Après s’être bien restaurés, les randonneurs traversèrent la Risle, puis gravirent « la côte de la Pérelle » pour faciliter la digestion, et traversèrent les bois de La bruyère de Monteney ainsi que le charmant village de St Paul sur Risle. Avant de redescendre sur Pont Audemer, le groupe profita d’un moment de détente rafraîchissant en traversant la Véronne à gué, rivière affluent de la Risle, toujours en suivant le GR 224.corneville

C’est par les petites ruelles et impasses moyenâgeuses que les marcheurs découvrirent les belles maisons à pans de bois de Pont Audemer  qui se mirent dans les eaux de la Risle. Du haut des petits ponts qui enjambent les canaux surgissent des lavoirs et les anciens séchoirs des tanneurs formant dans ce dédale aux eaux vives la « petite Venise normande ».

Pont-Audemer riche de 45 tanneries en 1833 n’en possède plus qu’une aujourd’hui. Des papeteries, grâce à l’énergie hydraulique, se sont développées au XIXème S. puis des industries de mécanique et plasturgie prirent la relève pour contribuer à la vie de cette belle ville riche en histoire.

De retour à leur point de départ, les randonneurs reprirent la route vers St Wandrille où les attendait le pot de l’amitié qui clôtura cette belle journée de plein air si vivifiante…

 

      


roumare

« Pause au château d’Hautot- sur- Seine »

« ESCAPADE EN FORET DE ROUMARE ».

C’est en compagnie de nos amis randonneurs du comité d’animation du village de Canteleu, que « Marche, Plaisir, Découverte » devait parcourir la forêt de Roumare sur une vingtaine de kilomètres.

roumareSous la houlette de Jean-Paul et Philippe, nos guides du jour, le groupe, fort d’une trentaine de marcheurs, prit le départ du parking du parc animalier. Le but de la randonnée concoctée par Philippe et Jean-Paul était de faire découvrir cette magnifique forêt coincée dans un méandre de la Seine où se mélangent toutes les essences d’arbres ( chênes,  hêtres, bouleaux , pins et sapins) dans un ordonnancement des plus impeccable, et au fil des sentiers de bordures avoir des vues magnifiques sur la Seine .

Après avoir rejoint le Gr2, le groupe longea la forêt au Valmaye et pu observer la rive gauche du fleuve que domine le château « Du Corset Rouge ».

Puis revenant dans les bois, les randonneurs empruntèrent les larges et paisibles  routes forestières de la Commanderie et de la Cabane avant de redescendre vers Hautot-sur-Seine et rejoindre le château.

C’est dans une salle des dépendances de celui-ci que les sacs s’ouvrirent pour un déjeuner réparateur pris dans une bonne ambiance où chacun pu converser et fraterniser.

L’après-midi, les randonneurs reprirent la route, après la dégustation d’un excellent café offert par le comité de Canteleu, qui les conduisit jusqu’au vieux château de Sainte Vaubourg avec sa grange dîmière, la plus vaste de Normandie et la Commanderie qui appartenait aux templiers au moyen âge.

 

Une descente vers la Seine amena le groupe au pied de la colonne Napoléon, monument érigé pour commémorer le passage du corps de Napoléon premier qui revenait de l’île de sainte Hélène.

Après une remontée plutôt pentue au niveau de Val-de-la-Haye pour rejoindre le sommet de la falaise, les randonneurs longèrent celle-ci par un chemin de bordure et purent ainsi apercevoir les premières infrastructures du port de Rouen, avec ses grues et porte- containers. Déjà au loin, on pouvait apercevoir les hautes tours de Canteleu entourées d’un halo de brume qui annonçaient la fin de la randonnée. Le chemin du retour passait par le Hêtre pleureur et la mare Epinay avant de rejoindre le parking notre point de départ.

Le pot de l’amitié, préparé par nos amis de Canteleu, permit à chacun de se restaurer et désaltérer tout en se félicitant d’avoir participé à cette journée sympathique et vivifiante, et  promettant de se réunir bientôt pour une nouvelle randonnée en commun.

 


jumièges
« Devant la maison forte d’Agnès Sorel… »

« Voyage en presqu’île de Jumièges ».

En ce dimanche 27 février, profitant des premiers rayons de soleil de cette fin d’hiver, « Marche, Plaisir, Découverte » emmena ses randonneurs sur les chemins, les sentiers et les petites routes qui sillonnent la presqu’île de Jumièges.

jumiègesAprès le départ fixé à la hauteur du bac de Yainville, le groupe commença la balade en longeant la rive sauvage de la Seine bordée de nombreux et tortueux saules appelés « têtards » très âgés qui lui font en cet endroit comme une haie d’honneur… En portant le regard de l’autre côté du fleuve, chacun put reconnaître les vieilles demeures de pêcheurs, l’imposante grange dimère d’Heurteauville et l’humble chapelle « du bout du vent » dans laquelle par le passé, les jeunes amants pouvaient se marier sans le consentement des parents.

Dès que le chemin s’écarta de la rive du fleuve, les marcheurs levant la tête purent découvrir dans le lointain les ruines abbatiales de Jumièges émergeantes de la brume. Philippe, le guide du jour, leur rappela toute la puissance de cette abbaye vouée à la charité,  qui aurait hébergée pas moins d’un millier de moines, de frères converts ,et qui disposait d’un port privé en Seine ?...

Dans un cadre très pittoresque dominé par les hautes falaises, les randonneurs rejoignirent la cale du bac de Jumièges pour y déguster le traditionnel café, avant de rejoindre les vergers, et de traverser la sombre forêt aux mille légendes.

C’est au Golf du Mesnil que les marcheurs se réconfortèrent le temps d’un repas frugal pris dans la bonne humeur avant de repartir vers le manoir de « la Vigne ». Là, philippe raconta la passionnante histoire de cette maison forte où séjourna Agnès Sorel dite « Dame de beauté », la favorite du roi Charles VII.jumièges

Toujours d’un pas soutenu ,les marcheurs traversèrent de nouveau une autre partie de forêt en suivant une variante du GR2, qui, descendant du haut de la falaise suit le fleuve en laissant de temps en temps  découvrir de remarquables panoramas.

Les « podomètres » indiquaient  20 km lorsque le groupe rejoignait le bourg de Yainville. Tous les participants étaient ravis de cette journée passionnante et vivifiante. Ils en remercièrent les organisateurs et prirent rendez-vous pour la prochaine randonnée programmée pour le 13 mars… (La boucle de Roumare ).

 


Notre Dame de gravenchon
 « Au site de la Fontaine-Saint-Denis… »

« Sur les hauteurs de Port Jérôme… ».

C’est de Notre Dame de Gravenchon, «  cité de l’or noir », et plus particulièrement de la vieille  église Notre Dame datant du XIème siècle, qu’une bonne trentaine de randonneurs de « Marche, Plaisir, Découverte » prirent le départ.

Ce dimanche 13 février 2011, une boucle d’environ vingt kilomètres devait les emmener sur les hauteurs de  Port Jérôme à la découverte des paysages du plateau cauchois  avec ses plaines de cultures et ses bois profonds aux chemins encaissés et boueux en cette saison.

Dès le départ, Ils traversèrent le très beau parc de vingt hectares du Télhuet, qui se prête merveilleusement à la mise en valeur de la nature et des équilibres écologiques. Le petit ruisseau, le Telhuet, serpente vivement entre les plantes aquatiques et les herbages où paissent quelques pittoresques bœufs d’écosse aux longues cornes et poils longs.

Le groupe monta la rampe d’accès aux ruines du château des comtes d’Evreux (XI et XIIème S), qui faisait parti au moyen âge d’un important domaine. Ce site médiéval remis en valeur par des archéologues compétents montre bien l’importance de l’édifice qui contrôlait la vallée de la Seine et protègeait les villages environnants de toute attaque.

Les marcheurs traversèrent le bois de la Salle par des chemins très glissants puis gravirent la Côte aux Pigeons et la Côte du Carmont avant de faire une petite halte sous un abri de chasseurs pour la pause café.

port jéromeLes randonneurs s’arrêtèrent devant le très beau château de Triquerville , comme posé là au bout de son allée de hêtres,  admirèrent son imposant colombier en briques rouges et firent, bien entendu, quelques photos.

Ils traversèrent le pré Mançais, poussés par le vent présent, pour rejoindre la salle polyvalente de Touffreville-la-Cable où les sacs s’ouvrirent pour un déjeuner attendu.

Sortant de cette salle chauffée, aimablement prêtée par la municipalité, les randonneurs requinqués rechaussèrent leurs brodequins crottés. Ils reprirent le chemin du bois de Brilly  et descendirent la côte de Touffreville pour atteindre la vallée verdoyante de Fontaineval.

Ils rejoignirent le Gr2 par un chemin escarpé et glissant, traversèrent le hameau de La Roserie et la forêt du Platon, par une cavée typiquement cauchoise, avant de redescendre par le bois d’Harcourt et revenir par «  les étangs Legendre », où caquetaient quelques canards résidents, à leur point de départ : le parking de l’église Notre Dame.

Le pot de l’amitié, servi dans la salle de Touffreville- la- Cable, fut de nouveau l’occasion d’un vrai moment de convivialité très apprécié où chacun se donna rendez-vous pour la prochaine balade dans « la boucle de Jumièges ».

 


 

Ste Austreberthe
« EN PAYS LIMESIEN… »

« Entre AUSTREBERTHE et SAFFIMBEC… ».

Une vingtaine de randonneurs fidèles de « Marche, Plaisir, Découverte » sont partis, le dimanche 23 janvier 2011, à la découverte des rivières souvent en crue de l’ Austreberthe et de la Saffimbec. Ces deux cours d’eau affluents de la Seine prennent leur source sur le plateau de Caux au nord de Pavilly pour la première, et dans le bois du comte de Bagneux au cœur de la vallée boisée de St Denis pour la seconde.
Toutes deux réunis  à Pavilly, elles se jettent dans la seine à Duclair dans le méandre de Jumièges.

Les marcheurs démarrèrent leur journée de randonnée depuis le château d’Esneval, remarquable bâtisse de pierres blanches du XVième en parfait état qui abrite, entre autre, une chapelle de St Thomas de Canterbury où repose un gisant de Thomas de Pavilly. Dans le parc verdoyant du château un magnifique Colombier octogonal du XV ième S. également trône fièrement près du presbytère de 1784.

Le groupe grimpa le sentier qui mène au relais de télévision puis traversant la forêt qui domine l’Austreberthe découvrit le village charmant de Ste Austreberthe  et sa petite église du XVII ième S. à flanc de côteau  autrefois occupée par des sœurs  Franciscaines (1881 à 1905).

Devant l’entrée et le petit cimetière, une croix de pierre blanche (classée aux monuments historiques) avec bas reliefs sculptés du XVIIième semble protéger de sa haute stature le calme petit village comme posé sur la rivière qui porte le même nom.

Une chapelle, dite de la source, construite en moellons de silex, accrochée à la côte pentue, fut jadis lieu de pèlerinage.
Le soleil de la partie en cette matinée, les randonneurs ouvrirent les sacs pour une pause café et profitèrent de la magnifique vue sur la vallée à peine sortie des brumes matinales.

Ste austreberthePuis le chemin repris leur fit traverser successivement le hameau des « Haies » et  « les pleins champs » avant d’arriver au village d’Ermonville où le diner devait être pris, à l’abris des intempéries, dans une grange  aimablement prêtée par un sympathique cultivateur Ermonvillais.

L’après-midi pluvieuse emmena le groupe sur des chemins de terre boueux à souhait qui traversent les plaines à blé et autres céréales, richesse du plateau Limésien. Un coup d’œil à la très belle église St Martin de Limésy toute en silex noirs et blancs taillés en forme de dés, et les marcheurs traversèrent tour à tour  le village de Becquigny et « le nouveau monde » pour redescendre dans la vallée de la Saffimbec.

Chacun nettoya quelque peu ses chaussures, alourdies par une boue collante, dans le passage à gué du cours d’eau et, suivant la vallée St Denis, le groupe aperçu les premières maisons de Pavilly leur annonçant que la boucle de 21 km était bouclée.

De retour sur St Wandrille et la salle de la Caillouville, les randonneurs, crottés mais heureux de leur journée, prirent le pot de l’amitié dans une bonne ambiance ….Vivement la prochaine sortie !..


 

Monfort sur risle
« Passage à gué… »

« en vallée de la Risle… ».

En ce dimanche 9 janvier 2011, les randonneurs de« Marche, Plaisir, Découverte » effectuaient leur première marche de l’année nouvelle dans la vallée de la Risle.

Le départ était donné de Montfort sur Risle et plus particulièrement du pont JOLY qui enjambe ce cours d’eau au très fort débit  après la fonte des neiges des semaines précédentes.

Tout de suite, le groupe s’engagea sur le GR224 qui devait les mener à destination. Ce chemin parfois encaissé dans des « cavées », parfois s’ouvrant vers la vallée en lisière de bois permit aux randonneurs de découvrir la forêt épaisse de Montfort mais aussi la vallée ensoleillée de la Risle encore fumante de brume…

Au détour du chemin boueux, le passage à gué d’un petit cours d’eau affluent de la Risle permit  un nettoyage grossier des chaussures alourdies par la boue, et bien sûr la prise d’une photo pour la « postérité »…

Le soleil alors au rendez-vous accompagna les marcheurs jusqu’au petit village de « Freneuse « puis le lieu dit « Le bout de ville » où une table d’hôte attendait ses convives.

Ce fut l’occasion, le repas de fin d’année ayant été perturbé par les intempéries en décembre, de se retrouver autour d’une table conviviale dans un lieu chaleureux avec feu à l’âtre et patronne sympa.

Après un repas simple, mais « Pantagruélique », les randonneurs firent une petite marche digestive vers le Bec Helloin pour certains, vers les ruines du château de Montfort et ses 220 marches d’accès pour les autres.

Chacun reprit le chemin de St Wandrille et la salle de la Caillouville où les attendait Paule, l’organisatrice avec Philippe de cette belle journée, pour un apéritif dinatoire suivi de la traditionnelle galette des rois, Epiphanie oblige…

 

 
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Tarif : adhésion : 6€ et rando. 3€. (enfant moins 12 ans : gratuit)
S’inscrire le plus rapidement possible auprès de :
PH. BOULLIER tél : 02.35.96.08.40, ou D. JOURDAIN tél : 02.35.38.19.09,
ou J.M. RAULIN tél : 02.32.83.38.67 ou 06.61.68.98.12

21/11/2011

Après la randonnée, chaque marcheur se retrouve dans une salle communale à St WANDRILLE RANÇON pour tirer les conclusions de la journée passée ensemble, donner ses suggestions éventuelles et revoir les photos prises lors de la ballade ou des ballades précédentes.
Un pot de l’amitié lui est offert par « MARCHE, PLAISIR et DECOUVERTE » pour clôturer la journée dans une ambiance qui se veut joyeuse.

Nous demandons aux personnes désirant participer aux randonnées préfixées de bien vouloir s’inscrire au moins 8 jours avant la date de la randonnée auprès des responsables dont les coordonnées suivent, ceci pour le bon déroulement de la randonnée.

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